Livestock Research for Rural Development 21 (7) 2009 Guide for preparation of papers LRRD News

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Effets du stade phénologique des prairies permanentes forestières du Nord Est Algérien sur leur production et leur valeur nutritive

F Arbouche, Y Arbouche, R Arbouche et H S Arbouche

Centre universitaire d’El-Tarf Algérie, BP 138 36000 El Tarf, Algérie
arbouchefodil@yahoo.fr

Résumé

La région d’El Fedden située au niveau des zones montagneuses frontalières à la Tunisie est à vocation sylvo-pastorale. Les essences arborées sont essentiellement du chêne zeen et du chêne liège. La strate herbacée présente au niveau des prairies permanentes reste la source principale alimentaire des ruminants existant dans la zone. L’étude de ces prairies après cinq années de mise en défens ; nous a permis de déterminer les rendements en matière verte et sèche ainsi que la valeur nutritive à travers les différents stades phénologiques. Le stade d’exploitation optimal est le stade épiaison de la graminée la plus représentative. A ce stade, les prairies au niveau de cette zone développent une production en matière verte de 14T/Ha pour une valeur en matière sèche de 2,8T/Ha

Mots clés: Algérie, pâturage forestier, production pondérale, valeur nutritive



Effect of phenological stage of forest permanent meadows in Algerian North East on their production and nutritive value

Abstract

The area of El Fedden located at the level of the frontier mountainous zones with Tunisia has a sylvo-pastoral vocation. The tree species are primarily oak zeen and oak cork. Stratum herbaceous present at the level of the permanent meadows remains the main food source of the existing ruminants in zone.The study of these meadows after five years of protection, allowed us to determine the rendement of vegetable matter  and dry matter as well as the nourishing value following various phénologiques stages. The optimal stage of exploitation is the épiaison stage of the most representative grass. At this stage, the meadows at the level of this zone, develop a production of green matter of 14T / Ha for a value of dry matter of 2,8T / Ha.

Key words: Algeria, food value, forest pasture, production


Introduction

Le milieu méditerranéen ne s’apprête pas à la production d’herbe naturelle suite aux conditions climatiques défavorables marquées par une période estivale prononcée et des pluies irrégulières. Les cultures fourragères y sont peu développées. En milieu forestier, de grandes surfaces de végétations naturelles sont offertes à l’élevage et constituent la base des productions animales rurales.

 

L’utilisation de ce milieu difficile (terrain en pente, sols trop superficiels, trop rocheux ou trop humides) est souvent la seule, voire la meilleure façon de nourrir un troupeau. L’activité d’élevage l’emporte de plus en plus sur l’activité de travail du sol. (Lapeyronie 1982)

Les formations végétales, correspondant à différents types d’associations arbustives ou herbacées, jouent un rôle important dans l’alimentation des troupeaux surtout pendant la période sèche. Leurs exploitations s’effectuent à travers différents types de transhumances plus ou moins longues et souvent entrecoupées de nombreuses étapes conditionnées par l’apparition de la première pousse de l’herbe.

 

Ce type de pâturage qui fait appel à l’aménagement des forêts (Sarson et Salmon 1977) doit obligatoirement tenir compte du contexte socioéconomique des populations du milieu rural. Il se doit d’être accompagné de traitements sylvicoles permettant de stabiliser une activité sylvo-pastorale, dont le but est de faire produire à ces pâturages enclavés, de l’herbe comme production principale destinée généralement à être pâturée sur place.

 

A ce titre, les prairies au niveau du massif forestier de la commune de Bougous à travers le conton d’El- Fedden, constituent un terrain de parcours privilégié, en fournissant une alimentation herbacée, où l’animal peut convertir la végétation adaptée à cette zone en lait et surtout en viande ( Derkaoui 1977). Cependant, la pratique de l’élevage en extensif et de manière anarchique dans la forêt, ne peut mener qu’au surpâturage, posant ainsi le problème de la régénération et de la pérennité de la forêt (Zerouki 1995 ; El Hamrouni et Sarson 1975 ; Saoudi 1983 et  Le Houérou 1980).

 

 Ce qui nous amène à raisonner en terme de qualité et quantité de fourrage, laquelle est variable avec l’âge de la plante et dépend du stade phénologique du fourrage au moment de la coupe (Demarquilly et Andrieu 1988). 

 

Matériels et méthodes 

Présentation de la zone d’étude 

 

La région d’El- Fedden est un écosystème forestier situé dans la commune de Bougous au Nord-est de l’Algérie. Les caractéristiques géographiques sont :

Longitude 8°46’E.

Latitude de 36°68’

Altitude de 560 m

 

Du point de vue relief, c’est un ensemble montagneux boisé à 80 % de chêne zeen (Quercus canariensis)  et liège (Quercus suber) avec une densité de 600 arbres/hectares en moyenne (Arbouche et al 2008). Les sols sont généralement lourds à taux d’argile élevé. Les ¾ des prairies sont localisées dans des clairières. La superficie moyenne est de 12 hectares, variant entre 5 et 43 hectares. Le reste des zones de parcours est localisé sous chêne liège (Arbouche et al 2008)

 

Du point de vue climatique, la zone d’El- Fedden se situe dans l’étage  bioclimatique subhumide à hiver doux. La saison sèche s’étale du début avril jusqu’au début d’octobre. La pluviométrie moyenne annuelle est de 1191mm avec un maximum au mois de décembre (199 mm) et un minimum au mois de Juillet de 3 mm. La période la plus pluvieuse se situe entre le mois de novembre et février (hiver) avec 688 mm représentant 57,80 %, la saison la moins pluvieuse est localisée entre le mois de Juin et Août (été) avec 45mm représentante 3,80 % de la pluviométrie annuelle. La moyenne annuelle de la température est de 19,5°C. Le mois le plus chaud est le mois d’août avec une moyenne de 23,4°C, le mois le plus frais est janvier avec une moyenne de 9,2°C.

 

Echantillonnages

 

Ils ont été réalisés selon la méthode de Braun-Blanquet et al (1952) et de Maignan et al (1977). Le choix de la station a été effectué selon le principe de l’aire minimale (Gounot  1961).

 

La zone étant surpâturée, une surface d’un hectare a été mise en défens durant cinq années au niveau du site les plus représentatifs de la zone pâturée. Une station de 10 x 10m a été réalisée.

 

Prélèvements et relevés phytosociologiques 

 

Ils ont été effectués tout au long de l’année. Les prélèvements pour l’analyse chimique et la détermination de la masse pondérale ont été réalisés sur la base de l’apparition des différents stades phénologiques de l’espèce graminée principale dominante (Demarquilly et Jarrige 1981) et par le fait que les stades phénologiques des graminées sont les plus stables par rapport à la somme des températures cumulées (Durand 1969).

 

Les stades phénologiques retenus sont selon Andrieu et al (1988) :

Stade pâturage : la base de l’épi est située dans la gaine à une hauteur de 7 à 10cm au-dessus du thalle.

Stade épi sous gaine : 80% des plantes ont leurs épis sous gaine.

Stade épiaison  : 80% des plantes ont leurs épis sortis de la gaine

Stade floraison : 80% des plantes ont leurs étamines visibles sur les épis.

Stade nouaison : 80% des fleurs sont en nouaison.

 

Températures 

 

Un thermomètre maxi-mini a été placé dans la station selon les normes préconisées par Durand (1969). Les températures ont été relevées deux fois par semaine à la même heure, vendredi et lundi à partir du mois de février. 

 

Analyses et calculs 

 

Les teneurs en matière sèche, en cellulose brute, en matières azotées totales et en matières minérales ont été déterminées selon les méthodes de l’AOAC (1990). Les méthodes de calcul de la valeur nutritive ont pour base les formules de Demarquilly et Andrieu (1988).  Les analyses statistiques ont été effectuées à l'aide du programme Statistica 6.0 ( StatSoft Inc. 2001)

 

Résultats et discussion 

Les températures  

 

Au niveau de la station, les valeurs respectives des températures maximales et minimales varient de 18,2 à 35,6°C et 3 à 9,7°C respectivement. La valeur de la température maximale moyenne rapportée par Seltzer (1946) pour la même région, sur une période de 32 ans est de19,1°C.

 

Durée et somme des températures pour l'avènement des stades phénologiques

 

Durée

 

La durée à partir du 1er février de l'apparition des stades phénologiques au niveau de la station (tableau 1) fait ressortir la prédominance de  Bromus mollis qui est à classer parmi les espèces précoces.


Tableau 1.  Durée en jours pour l’avènement des stades phénologiques.

Espèces

Pâturage

Epi sous gaine

Epiaison

Floraison

Nouaison

  Bromus mollis

71

77

85

106

113


Somme des températures 

 

L’apparition du premier stade phénologique (pâturage) au niveau de la station est 153°C. Les stades floraison et nouaison sont réalisés à 266°C et 293°C respectivement (tableau 2).


Tableau 2.  Somme des températures moyennes hebdomadaires (>0°C) nécessaire pour la réalisation des différents stades phénologiques à partir du 1er février (°C)

Espèces

Pâturage

Epi sous gaine

Epiaison

Floraison

Nouaison

 Bromus mollis

    153

         173

   193

   266

   293


Au niveau des pelouses de haute altitude (1800m) localisées au niveau des monts du Belezma (Aures), l’espèce Bromus madritensis totalise au départ de végétation 51,6°C, les stades épiaison, floraison sont atteint respectivement à des sommes de températures de 70°C et 103°C (Arbouche 1995).

 

Relevé phytosociologique 

 

Altitude : 560m.

Exposition : multiple.

Pente : 0%.

Superficie : 100m2.

Recouvrement global : 1

Strate : herbacée.

Sol : lourd.


Tableau 3.  Relevé floristique

Espèces

Abondance/dominance

Espèces     

Abondance/dominance

Asphodelus microcarpus

Bromus mollis

Phalaris bulbosa

Trifolium rupens

Bellis sylvestris

Medicago merecxe

Mentha pulegium

Ranunculus macrophylus

Galactites tomentosa

Rumex sp

Festuca sp

Centaurea sp

Plantago sp

Buscutella didyma

Cerastium glomeratum

Medicago hespida

Sherardia arvensis

Anagallis arvensis

Alopecurus bulbosa

Trifolium sp

Trifolium compestri

Rumex sp

Malvace sylvestris

Eryngium sp

4-4

3-3

2-1

2-1

1-2

1-1

1-1

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

Trifolium rupens

Medicago merecxe

Bromus madritensis

Phelium pratense

Evax pygnea

Picris aculiata

Lolium rigidum

Centauria napifolia

Litrome salicana

Echium plantagineum

Trifolium laevigatum

Silene sp

Trifolium resupinatum

Ranunculus miricatus

Alopecurus bulbosus

Cherardia arvensis

Hypoquerus aquiroflorus

Ornitogalum sp

Vicea sp

Bromus mollis

Plantago sp

Convolvus sp

Chicorium intybus

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+

+



Production totale des matières végétales

 

La matière verte évolue exponentiellement du stade pâturage au stade épiaison (10TMV/Ha à 14TMV/Ha respectivement) (tableau 4) et régresse jusqu’au stade nouaison (7TMV/Ha). La production de matière sèche est maximale au stade épiaison (2,8 TMS/Ha). Le stade pâturage représente la valeur la moins expressive (2,1 TMS/Ha).


Tableau 4.   Production des matières vertes et sèches par hectare en fonction du stade phénologique

Matière végétale, T/Ha

Pâturage

Epi sous gaine

Epiaison

Floraison

Nouaison

Matière  verte

10

11

14

9

7

Matière  sèche

2.1

2.2

2.8

2.6

2.4


De Montard (1991), a estimé qu’au niveau des prairies françaises travaillées, la production de matière sèche est en moyenne de 8 TMS/Ha. Arbouche (1995), au niveau des pelouses du Belezma (Aures) trouve une production de 1,76 TMS/Ha au stade épiaison et 2,38 TMS/Ha au stade fructification pour des prairies avec comme espèce dominante Dactylus glomerata.

 

Production des matières végétales suivant les familles botaniques

 

Au niveau de la station, le pic de production maximale en matière verte est à attribuer aux graminées avec une contribution de 86,5% et aux composées 12,7% (tableau 5). La contribution maximale des légumineuses apparait au stade épi sous gaine (2T de MV/ha) avec 14,8%.


Tableau 5.   Production des matières vertes et sèches suivant la famille botanique

Stade phénologique

Famille botanique

Contribution,  %

Matière verte, T/ha

Matière sèche, T/ha

Pâturage

Graminées

45,7

5

0,9

Composées

42,0

4

1,1

Légumineuses

12,3

1

0,1

Echantillons

100

10

2,1

Epi sous gaine

Graminées

41,5

4

0,9

Composées

43,7

5

1,1

Légumineuses

14,8

2

0,2

Echantillons

100

11

2,2

Epiaison

Graminées

86,5

12

2,5

Composées

12,7

2,9

0,24

Légumineuses

0,8

0,1

0,06

Echantillons

100

14

2,8

Floraison

Graminées

71

6

1,4

Composées

29

3

1,2

Légumineuses

-

-

-

Echantillons

100

9

2,6

Nouaison

Graminées

50,8

4

1,6

Composées

47,5

2,9

0,82

Légumineuses

1,7

0,1

0,08

Echantillons

100

7

2,4


Au stade épiaison, la production de matière sèche (2,8T de MS) est surtout représentée par les graminées (2,5T de MS). Au stade pâturage et épi sous gain, le contribution en matière sèche est dominée par les composés avec 1,1T/Ha

 

Valeur nutritive 

 

Composition chimique et digestibilité 

 

Le taux de matière sèche au stade nouaison est le plus importante (34.68%) (Tableau 6).


Tableau 6.   Composition chimique en % de MS des pelouses en fonction des différents stades phénologiques

Composants

Pâturage

Epi sous gaine

Epiaison

Floraison

Nouaison

Matière sèche

21.6±0,4a

20.3±0,3a

19.8±0,1a

28.8±2,1b

34.6±6,6c

Matière minérale

9.6±0,2a

11.0±0,1a

10.6±0,3a

6.6±1,2b

6.0±1,9b

Matière grasse

3.2±0,9a

1.2±0,1b

0.80±0,09c

1.2±0,2b

1.2±0,2b

cellulose brute

21.7±0,09a

24.6±0,2b

26.0±0,7c

28.1±2,2d

38.3±6,7e

Matière azotée

15.0±0,1a

15.1±0,08a

13.6±0,4b

8.3±1,4c

10.3±4,5d

Digestibilité de la matière organique

0.74

0.72

0.71

0.63

0.55

Sur la même ligne, les valeurs portant un même signe sont comparable au seuil de 5%


Au stade pâturage, épi sous gaine et épiaison, le taux de matière sèche est significativement le même. A ces même stades, Andrieu et al (1988), rapporte au niveau des prairies de demi montagne, des taux de MS de 16.2% au stade pâturage, 20.4% au stade épiaison et 21.7% au stade floraison.

 

Le pourcentage de la matière minérale varie selon le développement et les besoins du végétal en minéraux. Elle est liée à la nature du sol et son potentiel de fertilisation. Elle est dominante au stade épi sous gain avec 11,0%

 

Le pourcentage de matières grasses varie selon le stade phénologique et les besoins de la plante. Au niveau de la station, les taux de matière grasse sont inférieurs à ceux des prairies européennes (1.5%) (Andrieu et al 1988) à l'exception du stade pâturage (3.2%). Le taux de matière grasse au niveau de ce stade est liée à la teneur en pigments chlorophylliens des plantes.

 

Les teneurs en cellulose brute et matière azotée ont beaucoup d’importance puisqu’au premier cycle de végétation, la digestibilité d’une plante est liée positivement à sa teneur en matière azotée et négativement à sa teneur en cellulose brute (Andrieu et Weiss, 1981).

 

L’évolution du taux de cellulose brute, varie selon le stade phénologique du végétal, lequel est lié aux conditions climatiques. Il est maximal au stade nouaison avec 38,3%. Sur les prairies de moyennes altitudes, Andrieu et al (1988) avance un taux de 33,5% au stade floraison.

 

L’évolution du taux de matière azotée est inversement proportionnelle à celui de la cellulose brute. Au stade d’exploitation optimal (épiaison), le taux de matière azotée est de 13,6%. Un taux moins important (11,1%) est rapporté par Andrieu et al (1988) sur prairies de moyenne altitude au même stade phénologique. La digestibilité de la matière organique est la plus importante au stade pâturage (0,74%).

 

Valeurs énergétiques  

 

Elles sont maximales au stade épi sous gaine (0,95/kg de MS en UFL et 0,85/kg de MS en UFV) (tableau 7).


Tableau 7.  Valeurs énergétiques (UFL et UFV/Kg de MS) des pelouses en fonction du stade phénologique

Composants

Pâturage

Epi sous gaine

Epiaison

Floraison

Nouaison

UFL

0,90

0,95

0,86

0,72

0,66

UFV

0,81

0,85

0,76

0,62

0,55

UFL : unité fourragère pour la lactation ; UFV : unité fourragère pour la viande


Arbouche et Arbouche (2007) sur des prairies de moyenne altitude au niveau de la même région, trouvent des valeurs fluctuant entre 0,73 à 0,65/kg de MS en UFL et 0,64 à 0,61/kg de MS en UFV. Sur prairies de moyenne altitude, Andrieu et al (1988) avance des résultats compris entre 0,97 et 0,70/kg de MS en UFL et 0,92 et 0,60/kg de MS en UFV.

 

Valeurs protéiques 

 

Au niveau de la station, les PDI sont maximales au stade épi sous gaine (tableau 8) et le minimum au stade floraison.


Tableau 8.  Valeurs protéiques en g/kg de MS des pelouses en fonction du stade phénologique

Composants

Pâturage

Epi sous gaine

Epiaison

Floraison

Nouaison

PDIN

66,47

63,82

57,15

36,70

45,48

PDIE

95,03

95,50

91,69

71,08

80,30

PDIA

20,54

20,65

18,59

11,34

14,05

 PDIA : Protéines digestibles dans l’intestin d’origine alimentaire ;

PDIE : protéines digestibles dans l’intestin permises pour l’énergie ;

PDIN : protéines digestibles dans l’intestin permises pour l’azote 


Ils restent faible par rapport aux résultats trouvés par Arbouche et Arbouche (2007) (168,5 à 88,96g/kg de MS) au stade pâturage et à ceux de Andrieu et al (1988) (108 à 39g/kg de MS).

 

Conclusion 

 

Bibliographie 

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Received 15 November 2008; Accepted 16 May 2009; Published 1 July 2009

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